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mercredi 24 février 2010

Économie mondiale : Des états ruinés par Gilles Bonafi

Des états ruinés
Voici la liste des pays les plus endettés dans le monde développé, selon les estimations pour 2010 réalisées par l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE):
1. Japon: 197,2% du PIB, 2. Islande: 142,5%, 3. Italie: 127,0%, 4. Grèce: 123,3%, 5. Belgique: 105,2%, 6. France: 92,5%, 7. Etats-Unis: 92,4%, 8. Portugal: 90,9%, 9. Hongrie: 89,9%, 10. Canada: 85,7%,  11. Royaume uni: 83,1%, 12. Allemagne: 82,0%.  Il faut noter que le vrai chiffre de l’endettement de la France est de 92,5 %, supérieur à celui des USA. Les 100% seront dépassés en 2011.

D’ailleurs, le produit intérieur brut de la France (PIB) a reculé de 2,2% sur l'année, la plus forte baisse depuis l'après-guerre, selon les chiffres de l'Insee et 412 000 emplois ont été perdus. (source, le Parisien : Crise : la pire récession en France depuis 1945)

mardi 23 février 2010

Fin de partie pour les pays de l’Union européenne

Les manipulations générales en faveur de l’établissement d’un nouvel ordre économique sont devenues si denses qu’elles s’étalent presque au grand jour. Pourtant, les véritables influences restent cachées, et les intentions ultimes ne peuvent qu’être assez difficilement soupçonnées, presque jamais comprises.
La crise financière aura permis de recapitaliser les banques avec l’argent public. Aujourd’hui ce sont ces mêmes institutions qui menacent de détruire les États qui les ont sauvées. Qui peut un instant croire encore que ces opérations de déstabilisation seraient dues à la seule irrationalité des marchés, et qu’elles n’obéissent pas, en premier lieu, à un agenda caché ?
Chronologie de la crise en cours

Barack Obama sur le Grand échiquier - par Pascal Sacré

Le 44e Président US s’est entouré, dans certains domaines, de personnes dont la réputation sur le papier, laisserait rêveur. Il s’est également entouré de personnes dont le passé, le comportement et le dévouement aux secteurs privés, donnent plutôt des cauchemars. Que faut-il en penser ?
La Dream Team de Barack Obama 
Selon la presse, le New York Times en tête (http://www.nytimes.com/2008/12/13/opinion/13sat1.html), les “Greens” forment la Dream Team du gouvernement Obama : John Holdren, Harold Varmus, Eric Lander, Jane Lubchenco, Steven Chu. John Holdren, membre de l’Académie des sciences étatsunienne, est un expert du climat. Il a collaboré activement de 1987 à 1997 à l’organisation Pugwash (1) qui milite pour la non-prolifération nucléaire.  
John Holdren s’est fait connaître pour son activisme antinucléaire engagé. Chercheur très critique envers la politique environnementale de Georges W Bush, il s’était prononcé en faveur d’une législation imposant aux États-Unis d’abaisser le volume des émissions de gaz à effet de serre. Il est professeur en politique environnementale à la prestigieuse Université de Harvard et depuis décembre 2008, il est devenu le premier conseiller scientifique de Barack Obama qui l’a nommé à la tête du Conseil des conseillers du président sur la science et la technologie (PCAST).  Ce groupe a une importance potentielle majeure, puisqu’il doit conseiller le président et le vice-président sur des politiques dans des domaines où la compréhension de la science, de la technologie et de l’innovation est essentielle pour le renforcement de l’économie et la formation de politiques efficaces pour le peuple américain.John avait déjà été l’un des conseillers scientifiques de l'ancien président Bill Clinton (2). 

dimanche 21 février 2010

Un devoir de vérité Islam : L’ennemi fabriqué

 « Viendra un temps où les responsables des crimes contre l’humanité, qui ont accompagné le conflit israélo-palestinien et d’autres conflits de notre époque, seront appelés à répondre devant les tribunaux des hommes ou de l’histoire, avec leurs complices et tous ceux qui, en Occident, ont choisi le silence, la lâcheté et l’opportunisme ». (*)


Les va-t-en guerre se sont appuyés sur des attentats isolés, aux origines mal élucidées, pour incriminer tout à la fois, Oussama Ben Laden, Saddam Hussein, les Palestiniens, les « musulmans » en général, et influer sur notre perception [1].
Pour justifier leurs guerres unilatérales, et légaliser, sous le masque d’une « guerre mondiale au terrorisme », leurs violations des droits des peuples et du droit international, il leur fallait commencer par mentir et fabriquer un ennemi.

lundi 15 février 2010

L’Allemagne et Israël viennent-ils de signer des accords secrets ?

Le spectaculaire Conseil des ministres conjoints d’Israel et d’Allemagne, qui s’est tenu le 18 janvier à Berlin, avait-il pour seul objectif la signature d’accords secondaires de coopération ou les deux Etats ont-ils conclu des accords stratégiques secrets ? Pour Karl Müller, éditorialiste de « Zeit Fragen », la chancelière Angela Merkel engage les Allemands à leur insu sur une voie qu’ils n’ont pas débattue, et encore moins choisie.

ans son livre One Palestine, Complete : Jews and Arabs Under the British Mandate [1] l’historien israélien Tom Segev a démontré que le gouvernement britannique avait, pendant la Première Guerre mondiale, cédé au mouvement sioniste, notamment à l’une de ses personnalités importantes, Chaim Weizmann, par la suite devenu le premier président de l’Etat d’Israël, sur toutes les questions touchant la Palestine.

samedi 13 février 2010

Les armées secrètes de l’OTAN (VI) La guerre secrète en Italie

daniele ganser                    -voltairenet-
Alors que les Etats-Unis se présentent comme les défenseurs de la Démocratie, ils ont organisé le trucages des élections en Italie, deux coups d’Etat invisibles, et n’ont pas hésité à faire exécuter le Premier ministre Aldo Moro. Dans ce sixième volet de son étude sur le Gladio, l’historien suisse Danièle Ganser retrace la manière dont Washington a contrôlé en sous-main la vie politique italienne, à l’insu des Italiens, durant cinquante ans.
En 1978, les Etats-Unis ont fait assassiner le Premier ministre italien, Aldo Moro. Son exécution a été revendiquée par les Brigades rouges, mais l’opération était manipulée par le Gladio.
Cet article fait suite à :
1. « Quand le juge Felice Casson a dévoilé le Gladio… »
2. « Quand le Gladio fut découvert dans les États européens… »
3. « Gladio : Pourquoi l’OTAN, la CIA et le MI6 continuent de nier »
4. « Les égouts de Sa Majesté »
5. « La guerre secrète, activité centrale de la politique étrangère de Washington »

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L’anticommunisme états-unien fut à l’origine des nombreuses tragédies qui marquèrent l’histoire de la Première République italienne (1945-1993). Les preuves découvertes au cours des dix dernières années attestent que l’armée Gladio dirigée par les services secrets italiens prit, avec la complicité des terroristes d’extrême droite, une part active à cette guerre non déclarée. En l’absence d’envahisseur soviétique, les unités paramilitaires anticommunistes formées par la CIA se rabattirent sur des opérations internes visant à conditionner la vie politique nationale. Une enquête parlementaire chargée par le Sénat italien de faire la lumière sur Gladio et sur une série d’attentats mystérieux conclut à la fin de la Guerre froide que, dans le pays, « la CIA avait pu bénéficier d’une liberté maximale » due au fait que l’Italie avait, sous la Première République, vécu « dans une situation de division difficile voire tragique ». Cette division opposait les deux idéologies dominantes de la Guerre froide : à gauche, on trouvait le très populaire et très influent PCI, le parti communiste Italien, financé en sous-main par l’URSS ainsi que le puissant parti socialiste [1] tandis que de l’autre côté de l’échiquier s’activaient la CIA, les services secrets militaires italiens et leur armée Gladio mais aussi des mouvements terroristes d’extrême droite, recevant tous le soutien politique de la DCI conservatrice. [2]

Crimes contre l'humanité : Les occupants israéliens font main basse sur les organes des Palestiniens

par Le Centre Palestinien d'Information                              source: mondialisation

Gaza – CPI
Ils continuent et sont de plus en plus variés, les crimes des occupants israéliens. Peut-on imaginer que les corps des martyrs palestiniens soient autopsiés afin qu’ils s’approprient leurs organes ? Toutefois, avec ces occupants, tout est possible, surtout du fait que le Monde reste indifférent face aux pratiques criminelles et inhumaines.
Le gouvernement de Gaza
Le ministère palestinien de la justice, le conseiller Mohammed Fargaj Al-Ghoul, souligne que le gouvernement présidé par Ismaël Haniyeh continue de son côté à rassembler des renseignements. Il rencontre les familles de ces martyrs dont des organes ont été dérobés pour recueillir leurs témoignages afin d’établir des dossiers de poursuite contre l’Etat hébreu.
Dans des déclarations de presse, Al-Ghol dit qu’ils ont commencé à rassembler des informations et des documents pour condamner ces vols d’organes. Un dossier complet et juridiquement recevable est en train de se construire solidement pour être utilisé dans les cours internationales.
« Nous avons publié un appel à témoin dans les journaux palestiniens demandant aux citoyens d’apporter toute information concernant cette affaire au siège du ministère, dans la ville de Gaza, pour la joindre au dossier. »
Vol d’organes
Le journaliste suédois Donald Boström avait déjà exposé au monde des informations très étonnantes, en parlant d’un trafic d’organes de martyrs palestiniens organisé par les Israéliens.